Lorsque le pilote français se déplace à travers le monde, certains objets font toujours partie du voyage…
Les indispensables. « Le passeport, sans aucun doute. Mes clefs de maison, les clefs du fourgon. Toujours le pass parking et le pass permanent. Ma boîte à lunettes, un déodorant, des écouteurs. Depuis septembre, des compléments alimentaires, des vitamines aussi, et toujours des boules Quies parce que je roule avec. »
De quoi recharger. « Tous les câbles pour charger le téléphone, ma petite enceinte pour écouter de la musique, pour charger ma montre aussi. À l’entraînement, je la mets au guidon et pendant un week-end de Grand Prix, je la laisse dans le box parce que comme j’ai le cardio autour de la poitrine, les données sont enregistrées et transférées directement sur la montre. »
De quoi écrire. « Ça fait quelques années que j’ai mon cahier. Dernièrement, je le sors quand on travaille avec Grégory Mallet, pour la préparation mentale notamment, pour écrire certains objectifs, comment aborder les week-ends… J’ai donc toujours des stylos et des Stabilos dans mon sac. Poser sur papier, je trouve que ça fait du bien, après, je n’ai pas tendance à relire ce que j’écris. »
De quoi se challenger. « Le jeu d’échecs c’est Alex (Alexandre Mathieu, son kinésithérapeute) qui le prend. On joue quand on a un moment, quand on a envie de se challenger. »
Mais aussi des souvenirs… « Il y a une cloche sur laquelle était accroché un petit bonhomme, mais, avec le temps, il est tombé. J’ai un petit kangourou aussi. Et chaque année, j’ai un cadeau de “Kyoko”, une Japonaise qui vient avec son mari et qui m’offre des trèfles à quatre feuilles. J’en ai plein, et j’en garde toujours sur moi. En différente version, un Honda, un Français… C’est vraiment beau. »